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C'est peut-être la situation géographique de Lens qui fait que cette ville dispose d'un véritable stade "à l'anglaise". Le stade Félix Bollaert symbolise plus que tout autre les contrastes de la ville de Lens. En effet, à plusieurs reprises durant l'année, il accueille en son sein davantage de spectateurs que la ville compte d'habitants ! Phénomène unique, cet engouement de toute une région pour le ballon rond augure du succès populaire que devrait rencontrer l'organisation de la Coupe du Monde de Football.
Le stade Félix BOLLAERT en chiffres
Localisation : à 10 minutes du centre ville et de la gare SNCF desservie par TGV Autoroute jusqu'aux portes du stade
1ère inauguration : 1932 Capacité avant travaux : 49 581 places, dont 32 000 debout Capacité en 1998 : 41 275 places assises TRAVAUX
Rénovation : Elargissement des travées d'accès aux places sur la tribune MAREK-LOUIS. Nouvelle sonorisation et nouvel éclairage. Systéme de vidéosurveillance.
Construction : Construction des tribunes TRANNIN (inaugurée en février 96) et DELACOURT (ouverture au public en août 96). Reconstruction de la tribune LEPAGNOT, dite présidentielle, avec aménagement des espaces prestiges et médias
Fin des travaux : Juillet 1997 Architecte : Milan MARTIC Mise à disposition CFO : 2 mai 1998
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Photos SAOLA
LENS...
un certain 2 novembre !
Le stade Félix Bollaert est sans aucun doute lun des plus " chauds " de France et la ferveur du public lensois pour " son " Racing ne sest jamais démentie. La date du 2 novembre 1977 reste, à cet égard, dans toutes les mémoires des Nordistes.
Ce jour-là, pour le match retour des seizièmes de finale de la Coupe de lUEFA, Lens reçoit la Lazio de Rome, qui sest imposée à laller sur le score dit " parfait " de 2 à 0. Mais les joueurs au maillot sang et or vont jouer " Mission impossible ". Grâce à leur ailier international, Didier Six, les Lensois marquent deux fois : égalité parfaite à la fin des 90 minutes.
Les prolongations verront les Nordistes faire exploser les Italiens, en leur marquant quatre nouveaux buts. En ce 2 novembre, le Racing avait gravi son Himalaya.
